La critique prend l’allure d’un fragment autobiographique. Le travail a porté sur l’entrelacement des genres. Il a consisté à adapter le genre de la critique littéraire (résumé, sentiments éprouvés par le lecteur, etc.) à la structure narrative du récit autobiographique (présence du « moi »), soit à tisser la critique dans le cadre du récit - d’où l’imparfait dominant.
Le fil conducteur de la critique est le voyage intérieur, ainsi que le nécessaire mouvement qu’il implique. D’une part, parce qu’il est au cœur de cette œuvre de Bauchau. D’autre part, car il se marie bien avec le genre autobiographique dont il est l’une des grandes thématiques.