Cet éreintement (une critique violente et malveillante, ndlr.) se présente sous la forme d’une brève de journal à la ligne éditoriale incisive. L’objectif est à la fois de convaincre le lecteur de ne pas lire La place, et de blâmer l’oeuvre ainsi que – indirectement – son auteure.
Aux niveaux linguistique et stylistique, la critique reprend notamment les grands thèmes du livre (le paraître, le manque, l’attente). J’ai par ailleurs choisi de prendre pour fil directeur « l’absence ». Ainsi, chacune des phrases de la critique contient au moins un terme corrélé à cette notion/au sens d’« absence » (de quelque chose, de quelqu’un).